Le contexte :
La ville, objet de débat.
Selon “Séverine Bounhol“ : “nous sommes dans une société d’accélération de l’histoire, de refus du temps et du culte de l’immédiateté. 2004 c’est pour cette raison que le concept de ville durable est p encore mal compris. “ Les erreurs du passé, les héritages en matière d’urbanisme pèsent très lourds et sont des obstacles qui freinent le développement des villes à taille humaine. en s’intéresse au grand Paris (avec ses banlieue) on remarque que depuis toujours l’industrie à toujours fait objet de débat dans la ville“ l’activité“. On a toujours vu la ville repousser la zone d’activités à la périphérie de périphérie ,avant, au non du développement , de devoir repousser encore une fois les limites de la villes . Massy avec le site de la gare (SNCF), pose clairement le problème des limites dans la ville .les voies ferrés et les usines sont perçues comme des limites physiques enclavant le site. Qui nuit aux rapports humains dans le site .au nivaux de chaque rive et entre deux rives .le projet est une zone d’activité s’adapte à l’échelle humaine et pas l’inverse.
Objectifs :
Organiser le développement de la zone en :
- Traitant comme il convient le problème des limites dans le site en s’intéressant à chacune des rives tangentes aux vois ferrés.
- Crée un vrai rapport entre Massy nord et Massy sud en misant sur l’importance du vis
à vis.
- Intégrer la logique des plans d’aménagement de la ville en proposant l’équipement nécessaires à la connexion (commerces, places) mais aussi à la sérénité de l’activité (bureau, ZAC), ou en détournant l’utilisation des anciens.
- Retravailler les liens physique existantes (passerelles) et crée un nouveau lien physique qui matérialise cette relation entre l’homme c'est-à-dire le corps et l’activité.
Scénario : (SNCF, RATP, la Mairie, la Sablière, Sem Massy, Collectifs.)
Proposé aux acteurs d’investir sur la pérennité de leur site d’activité (gare comme habitations) à long terme. C'est-à-dire on permettant au projet d’intervenir sur leur influence afin d’y changé la nature.
La SNCF doit céder les quelques ilots lui appartenant au bord du rives.
La RATP doit céder les quelque ilots au niveau de la rive droite
La mairie doit acquérir quelque pavillon.
La sablière possède les paillions qui devront être démolis
Sem Massy pour la zone d’activité.
Objectifs : libérés les parcelles des deux rives en proposant dans chaque une alternance de programme. Bureaux, commerces, espaces végétaux résultants de la coulée verte dans les deux rives.
L’alternance des vis-à-vis à pour but de diminuer le sentiment de limite dans le site en réconciliant les deux rives.
La rupture physique est symbolique pour un projet qui lie les deux rives, en investissant au passage le haut de l’entrepôt de la gare.
La ville, objet de débat.
Selon “Séverine Bounhol“ : “nous sommes dans une société d’accélération de l’histoire, de refus du temps et du culte de l’immédiateté. 2004 c’est pour cette raison que le concept de ville durable est p encore mal compris. “ Les erreurs du passé, les héritages en matière d’urbanisme pèsent très lourds et sont des obstacles qui freinent le développement des villes à taille humaine. en s’intéresse au grand Paris (avec ses banlieue) on remarque que depuis toujours l’industrie à toujours fait objet de débat dans la ville“ l’activité“. On a toujours vu la ville repousser la zone d’activités à la périphérie de périphérie ,avant, au non du développement , de devoir repousser encore une fois les limites de la villes . Massy avec le site de la gare (SNCF), pose clairement le problème des limites dans la ville .les voies ferrés et les usines sont perçues comme des limites physiques enclavant le site. Qui nuit aux rapports humains dans le site .au nivaux de chaque rive et entre deux rives .le projet est une zone d’activité s’adapte à l’échelle humaine et pas l’inverse.
Objectifs :
Organiser le développement de la zone en :
- Traitant comme il convient le problème des limites dans le site en s’intéressant à chacune des rives tangentes aux vois ferrés.
- Crée un vrai rapport entre Massy nord et Massy sud en misant sur l’importance du vis
à vis.
- Intégrer la logique des plans d’aménagement de la ville en proposant l’équipement nécessaires à la connexion (commerces, places) mais aussi à la sérénité de l’activité (bureau, ZAC), ou en détournant l’utilisation des anciens.
- Retravailler les liens physique existantes (passerelles) et crée un nouveau lien physique qui matérialise cette relation entre l’homme c'est-à-dire le corps et l’activité.
Scénario : (SNCF, RATP, la Mairie, la Sablière, Sem Massy, Collectifs.)
Proposé aux acteurs d’investir sur la pérennité de leur site d’activité (gare comme habitations) à long terme. C'est-à-dire on permettant au projet d’intervenir sur leur influence afin d’y changé la nature.
La SNCF doit céder les quelques ilots lui appartenant au bord du rives.
La RATP doit céder les quelque ilots au niveau de la rive droite
La mairie doit acquérir quelque pavillon.
La sablière possède les paillions qui devront être démolis
Sem Massy pour la zone d’activité.
Objectifs : libérés les parcelles des deux rives en proposant dans chaque une alternance de programme. Bureaux, commerces, espaces végétaux résultants de la coulée verte dans les deux rives.
L’alternance des vis-à-vis à pour but de diminuer le sentiment de limite dans le site en réconciliant les deux rives.
La rupture physique est symbolique pour un projet qui lie les deux rives, en investissant au passage le haut de l’entrepôt de la gare.